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L'association
A chacun son atoll, c'est une association dédiée aux personnes ayant connu une phase de vulnérabilité (maladie, violences, etc.) pour leur permettre de retrouver leur capacité à agir par le biais de l’initiation à la plongée sous-marine et l’accompagnement au retour à l’emploi.
L'association s'est construite sur le constat que la clé de la reconstruction c'est une meilleure gestion du stress. La maladie amène son lot d'angoisses, tant médicales que familiales ou encore professionnelles.
Pour cela, la pratique de la plongée sous-marine peut participer à mieux maitriser son stress : le contrôle de la respiration ou encore l'invitation à la pleine conscience sont autant de facteurs qui favorisent la confiance en soi et la maitrise de ses émotions. En résumé, A chacun son atoll invite à une plongée vers soi-même, passage incontournable pour reprendre sereinement le chemin du travail, dernière étape de la rémission pour les femmes en activité et donc souvent sacralisée.
A chacun son atoll c'est donc l'accès à :
des entretiens de bilan professionnel, au moment du diagnostic ou en fin de soins : préparer son absence, son retour au travail, ou même sa reconversion !
de l'initiation à la plongée sous-marine, dans un cadre privilégié, bienveillant et adapté aux contraintes physiques et physiologiques des participantes, et à leur rythme
un lieu de ressources, de mise en réseau et de solidarité
Parce que notre deuxième vie commence quand on a compris qu'on en avait qu'une, A chacun son atoll invite à prendre une grande respiration à la rencontre de soi-même.
La reprise d'une activité professionnelle après un cancer, un enjeu personnel et sociétal
1000 personnes diagnostiquées par jour en France d'un cancer 40 % sont en activité
1/3 ne travaillent plus 2 ans après le diagnostic Seulement 1 personne sur 3 au chômage retrouve un emploi dans les 2 ans suivant un diagnostic de cancer |
60 000 nouveaux cas par an de cancer du sein** Age médian : 64 ans
30 000 femmes en théorie concernées par des enjeux d'activités professionnelles
+ 20 % des femmes ayant eu un cancer du sein n'ont pas repris une activité 2 ans après le diagnostic*** |
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**Institut National du Cancer, Panorama des cancers en France, édition 2023
*** Magazine de l’INSERM, octobre 2023